Si l’Europe n’en est pas encore au stade de la Chine ou de l’Inde, en terme de gestion de la qualité de l’air intérieur, pour autant la question inquiète les pouvoirs publics. L’obligation de surveillance de la qualité de l’air se structure progressivement et le purificateur d’air intérieur devient un objet du quotidien.

L’importance de surveiller la qualité de l’air est entérinée par les pouvoirs publics depuis les enquêtes menées notamment par le Ministère du Développement Durable dans les années 2010. Il est clairement avéré que la pollution de l’air intérieur a des conséquences sur le bien-être et la santé de ceux qui le respire.

Les purificateurs d’air vont-ils, comme les alarmes à incendie, devenir obligatoires ?

A ce jour les obligations réglementaires et législatives concerne les moyens de surveillance de la qualité de l’air à mettre en place. Pour les établissements recevant du public, les collectivités accueillants des enfants, les établissements d’enseignement, les entreprises, il est obligatoire de mettre en place des procédures de surveillance de la qualité et de renouvellement de l’air.

Investir dans un purificateur d’air n’est pas encore obligatoire, alors pourquoi est-ce nécessaire ?

Pour les particuliers comme les professionnels, les purificateurs d’air intérieur permettent d’en détecter et d’en préserver la qualité. Le purificateur d’air détecte les sources de pollution, les aspire, les filtre et les capte. Acariens, pollens, allergènes animaux, et particules fines : un purificateur d’air peut en retenir jusqu’à 75%.

Il existe plusieurs types de purificateurs d’air selon leurs filtres, capacité volumétrique de traitement de l’air, permettant de s’adapter à tous types d’intérieurs, professionnels ou domestiques.
En attendant que se développent les solutions de réduction de la pollution, les purificateurs d’air intérieur permettent un second souffle !